Le continent Africain prochain eldorado du porno mondial ?

Palesa Mbau
Palesa Mbau

Le continent Africain prochain eldorado du porno mondial ?

Palesa Mbau star du X Africaine.
Palesa MbauComme les industries manufacturières commence à quitter la Chine pour
s’installer dans des pays Africains, à cause du cout de la main d’œuvre (400 €
/mois en Chine, 40 € /mois en Ethiopie par exemple), le business du X va-t-il
se développer fortement sur ce continent ?

Je serais tenté de le croire, une forte demande de porno avec des noirs hommes
et femmes semble émerger actuellement, lié sans doute au coté nouveau de la chose
mais aussi à la beauté et la fraicheur des nouvelles actrices blacks. Le coût
n’est peut être pas totalement neutre dans ce cas, on estime évidemment qu’un
modèle féminin black dans certains pays demande 10 fois moins de cachet qu’aux
Etats-Unis ou en Europe (mon opinion est que c’est parfois encore moins
officieusement).

Aucune raison donc que la mondialisation n’atteigne pas ce business qui chiffre
en milliards de dollars chaque année (7 milliards de $ aux USA, difficile
d’avoir des chiffres précis compte tenu du nombre de sociétés privés).

Comme d’habitude les premiers arrivés seront les mieux servis.

Il y a une sorte d’accélération sur le secteur depuis peu d’années, l’Afrique
du sud et le Nigeria sont en tête pour le moment mais de jeunes candidats encore
étudiants veulent se lancer dans le business du x que ce soit au Bénin, en Cote
d’Ivoire, au Cameroun, Togo, en fait tous les pays d’Afrique quasiment sont
concernés plus ou moins.

Certaines sociétés occidentales ne s’y trompent pas et discrètement s’implantent
dans toutes ses régions pour être prêtes pour le grand boum.

Je n’invente pas ce qui suit ! Il existe des cercles d’apprentissage des sortes
d’écoles à Douala et à Abidjan. Les jeunes femmes qui étudient et se rendent
dans des salles prévues spécialement pour cela et regardent des films pour
apprendre tous les types de caresses, de positions sexuelles et de techniques
pornographiques à l’occidentale. Les professeurs n’hésitent pas à donner des
cours pratiques aux jeunes filles. Ils évaluent autant les capacités des hommes
et des femmes.

Il ne faut pas oublier quand même que les clients potentiels de ce genre encore
peu exploité recherchent le côté amateur. Aujourd’hui, les consommateurs
apprécient le coté réaliste, on leur donne l’impression de rentrer dans la vie
privée des gens et ça les excitent davantage. C’est comme s’ils rentraient dans
l’intimité de gens et qu’ils assistaient aux ébats en tant que voyeur en
direct.

Il y a bien sur déjà des excès, des touristes occidentaux louent des villas,
ils organisent des soirées privées. Ils font boire les jeunes femmes qui sont
parfois innocentes et naïves, les droguent parfois, et les livrent aux chiens,
les rapports sexuels durent des heures. A la fin de la fête, les filles peuvent
toucher jusqu’à 150.000 francs CFA (220 €).

Les risques sanitaires sont mal gérés, en effet les films sont faits sans
préservatif, et la qualité des contrôles sont discutables.

Une star du X d’Afrique du sud travaille déjà localement par exemple (Palesa
Mbau), et elle est fière car elle participe à des films produits et réalisés
sur place, elle explique que ce fait peur émanciper la communauté noire parce
que la majorité des productions dans le passé n’utilisaient que des blancs.

Un jeune Camerounais à déjà créé sa société et réalisé une poignée de films
pornos noirs, son objectif de départ était de lutter contre la prostitution qui
est beaucoup moins payante que le X. Il au aussi tourné dans des
courts-métrages pour une société Française et obtenu 1500 € de cachet.

Les freins au développement du business x.

Certains pays d’Afrique interdisent la production et même parfois la possession
de vidéos pornos, alors que les foyers ont accès aux chaines de télés
étrangères qui diffusent des films pour adultes. Paradoxe comme c’est le cas
dans pas mal de pays du monde. Une censure sur un secteur qu’on ne peut plus
vraiment censurer efficacement avec l’Internet et les télés mondiales par
satellite.
Finalement comme chaque fois l’attrait financier et la perspective de rentrées
fiscales devrait dans le futur l’emporter définitivement sur la censure. Les
lobbys vont s’en charger et les élus et responsables Africains ne sont pas
insensibles à l’argent.
Palesa Mbau Palesa Mbau

Des centaines de jeunes hommes et femmes originaires de Côte d’Ivoire, du Maroc, du cameroun, du Nigeria, d’Afrique du Sud et d’ailleurs essayent aujourd’hui de trouver leur voie dans l’industrie du film pornographique que ce soit en Afrique ou à l’étranger. La production et, dans certains cas, la possession de contenus pornographiques est illégale dans plusieurs pays d’Afrique. La pornographie est quand même de plus en plus présente sur le continent Africain, de plus en plus d’Africains ont accès à Internet et aux chaînes (souvent étrangères) diffusant des films pour adultes.

Mbau se décrit comme une «star du X africaine mignonne et super sexy» sur sa fanpage Facebook, créée en 2010, et qui compte quelques 2.200 fans. La jeune femme originaire de Midrand (dans la province septentrionale de Gauteng), qui a gardé sa voix d’adolescente, se sert de cette page pour se faire connaître, échanger sur le sexe et plaisanter avec ses admirateurs.

Elle compte également sur son site, où elle publie des photos suggestives et propose des live shows privés pour les «clients de premier ordre». Pour les«photos et vidéos personnelles supplémentaires», il faudra par exemple débourser entre 500 et 1.000 rands (entre 50 et 100 euros), en fonction de la présence ou non d’un caméraman engagé par ses soins.

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