Un nouveau champ d’études universitaire: La pornographie

La pornographie à l'université
La pornographie à l'université

La pornographie est devenue un nouveau sujet de recherche dans les universités.
Cette nouvelle matière pourrait faire son apparition dans les universités Francaises : On imagine les exercices pour les étudiants.
Pour la semaine prochaine, vous étudierez “L’arrière train sifflera trois fois et Blange neige et les sept mains”. Il y a des chances qu’il y ait une interrogation écrite ! Ce style de devoir est déjà courant dans l’Université de Pasadena, en Californie.

C’est une nouvelle discipline universitaire ce qui démontre que  la pornographie se banalise et que les pratiques sexuelles évoluent aussi dans la société.

Il ne s’agit pas bien sûr de former des acteurs ou actrices pornos mais d’avoir une vision de chercheur ou sociologique sur ce domaine. D’avoir une vision critique mais objective sur ce business, éventuellement de proposer d’ajouter une certaine éthique dans la profession. Que par exemple les acteurs ou actrices interviennent en expliquant que c’est du cinéma et pas de la réalité par exemple.
On pense aux scènes SM particulièrement ou aux scènes de soumission. Il est important surtout pour les plus jeunes (qui doivent être majeurs évidemment) de se rendre compte et de bien séparer les films de la réalité. Qu’on ne peut demander ou exiger ce genre de pratique directement dans la vie normale.

Ces sujets d’études existent depuis 15 ans aux USA, c’est le début en France car notre pays à une production pornographique bien plus faible.

Aux Etats Unis un cours étonnant existe dans une université. Ce cours a pour but d’éclairer les jeunes sur ce qu’est réellement la pornographie.

“Navigation Pornography” voilà le nom du cours qui peut étonner, voire choquer. C’est le “Pasadena City College” qui a mis en place le dit cours afin de permettre aux élèves de discuter du sujet qu’est la pornographie dans un cadre d’études universitaires.
Pour le professeur en charge du cours, Hugo Schwyzer, l’intérêt est de “donner des outils aux élèves pour comprendre la pornographie comme un phénomène historique et contemporain”. Mais là où ce cours à poser plus de soucis c’est au moment où le professeur a décidé de choisir comme intervenante, une star du porno. C’était pourtant la personne la plus qualifiée !
Pour beaucoup ce choix fut la goutte d’eau. Pourtant le professeur avance des arguments pas tant farfelus que cela pour justifier le sujet de son cours ; “Les élèves vivent dans une société saturée de porno et ont rarement l’occasion d’apprendre des choses à ce sujet dans un cadre sécurisé et d’une manière intellectuelle.” Car soyons honnête, qui peut échapper toute sa vie aux images pornographiques ? En parler ne permet-il pas de rompre le silence pour tous ces jeunes qui ne savent pas faire la distinction entre ce qu’ils voient dans les films et la véritable sexualité ? Pour Hugo Scwhyzer, parler de pornographie dans un cadre comme celui du lycée ou de la fac apporte des éléments de compréhension aux questions comme “Pourquoi nous aimons le X?” ou “Pourquoi le porno peut troubler certaines personnes?”.

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